12 Silicia7+ - Silicium Organique

La silice est reconnue et utilisée depuis des siècles pour ses vertus curatives par la médecine Chinoise et Aztèque (poudre de jade ou d’obsidienne). Sous sa forme cristallisée, la silice compose 30 % du monde minéral ; elle est, après l’oxygène, le second élément de la biosphère, essentiel au maintien de la vie. C’est uniquement sous sa forme organique que la silice est assimilable par notre organisme, jouant un rôle primordial dans le vivant : en effet, dans le ventre de la mère, le foetus fait déjà provision de silicium pour assurer son développement. Le silicium organique est même présent dès le premier stade de la vie (ovule fécondé), assurant ainsi l’intégrité de la cellule première avant sa division et sa multiplication, où nous trouvons sa trace dans et entre chaque cellule.

Ainsi, le silicium est présent partout : organes et glandes (poumons, rate, foie, coeur, cerveau, pancréas, surrénales, thymus), tissus vasculaires et sang, fibres musculaires, tissus osseux, tissus adipeux, masse cartilagineuse, émail dentaire, cristallin... Bref, toute la structure conjonctive, induisant ou régulant la multiplication des fibroblastes, responsables de la formation des fibres de collagène et d’élastine (c’est par sa possibilité de changement de polarité, rendant la cellule hydrophile ou hydrophobe, que le silicium resserre ou relâche cette trame conjonctive en assurant le maintien et l’intégrité de son élasticité, et en limitant sa dégradation).

Notre potentiel en silicium organique décroît de 80 % dès la maturité sexuelle... Nos besoins devant à l’origine être assurés par notre alimentation, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui avec l’appauvrissement catastrophique des sols, des apports de 20 ml doivent impérativement supplémenter nos rations quotidiennes des 2 ‰ d’éléments si indispensables au maintien de notre capital santé. D’autant que pour un potentiel initial identique, notre espérance de vie au cours de ce dernier siècle s’est considérablement accrue (environ trente ans !), sollicitant plus intensément encore notre organisme, et pour plus longtemps, dans des conditions déplorables d’exigences modernes ! L’organisme humain en contient un capital de 7 grammes, deux fois plus que le fer (3,5 g), et bien davantage que le cuivre et autres oligo-éléments. À ce niveau, il joue également un rôle de catalyseur.

Ne pas confondre les diverses silices : il existe la silice colloïdale, silice formée de colloïdes (particules semi-minérales) en suspension dans l’eau ; cette forme, plus assimilable qu’un solide ne permet qu’une absorption avoisinant les 3 %, avec déjà des résultats thérapeutiques honorables, malgré un risque de sédimentation au niveau des reins, et il y a le silicium organique, directement absorbable à 70 % de par son hydrosolubilité (pur à 7 ‰), et du fait de sa liaison directe avec des acides aminés transporteurs. Autre avantage, son élimination à la fois fécale et urinaire évite tout risque de surdosage.

Ce sont les travaux conjugués de DUFFAUT/VOISIN qui ont permis la démonstration que l’amorphisation superficielle des quartz est due à l’action conjuguée de micro-organismes (bactéries ou diatomées, par l’intermédiaire des acides organiques qu’ils sécrètent), et d’actions mécaniques et/ou chimiques diverses, caractéristiques du milieu sédimentaire dans lequel ils évoluent. Où trouverait-on du silicium ? Enveloppe des graines de céréales, millet, peau des fruits et légumes, pollen, aulx, oignons, échalotes, fucus, châtaignes, prêle, bambou, lupin jaune, pourpier, ortie, persil, pistache, ananas, noix de coco... Malheureusement, le raffinage, l’emploi de pesticides, de traitements antigerminatifs, et l’agriculture intensive dans son ensemble, provoquent en plus d’une pollution résiduelle alimentaire, un appauvrissement catastrophique des sols et des récoltes en silice.

Ingrédients pour 1 Litre
Solution aqueuse de Citrate de potassium de methyl silanetriol à 7 ‰ (986 g), extrait hydro alcoolique d’Ortie - Urtica Urens - (10 g), Acide citrique (2 g), conservateur : Sorbate de potassium (2 g).

Dosage en silicium élément : 1000 mg/l

Précautions d'emploi
• Cette forme de silicium organique buvable est consommée par ingestion depuis plus de vingt ans. Aucune étude n'a démontré un effet négatif de ce produit sur la santé.

Éviter le contact prolongé avec du verre ou du métal pour parer à toute oxydation ou désactivation de la solution. Utiliser la dosette graduée fournie. 
La formation d’un léger précipité est normale. Agiter avant emploi. Conservation en milieu tempéré. La conservation au réfrigérateur est inutile si la solution n’est pas soumise à des écarts de température trop importants et répétés, qui pourraient créer un phénomène naturel de recristallisation, sans danger. 

Le silicium organique présenté ici fait l’objet d’un brevet de fabrication et d’exploitation ; élaboré sous contrôle pharmaceutique, il remplit toutes les conditions physico-chimiques et bioélectroniques indispensables à un silanol de type méthylsilanetriol (CH3-Si-3OH), acido-réducteur, hautement assimilable et biodisponible (matières premières minérales (SiO2) avec introduction de carbone (C), le carbone étant un élément fondamental de la vie ; les atomes d’hydrogène (H) libérés solubilisant le substrat par action biochimique naturelle).

Caractéristiques
• Concentration à 7 ‰ de silicium organique, dont Silicium élément (SI) : 1g/l
• Analyse Bio-électronique (cf TOPO B.E.V. pour comprendre ces paramètres)
pH: 6,03 / rH2: 20,99 / rô: 151

Posologie
Celle-ci est très variable. En général et en fonction des besoins il faut prendre 1 à 3 x 20 ml par jour. Dans les cas extrêmes on peut aller jusqu'à 2 x 40 ml par jour.
La prise peut être diluée avec un peu d'eau ou de jus de fruit.

Contrindication
Du fait de sa richesse en minéraux, le silicium organique est à consommer avec prudence ou à exclure en cas de problèmes rénaux.

Études réalisées
• Travaux de PASTEUR sur l’acide silicique
• Travaux de Norbert DUFFAUT : découverte en 1957 d’un composé organo-silicié bio-assimilable; démonstration positive dans le domaine cardio-vasculaires, articulaire ….
• Travaux de Loic Le RIBAULT : démonstrations que l’amorphisation superficielle des quartz est due à l’action conjuguée de micro-organismes (par l’intermédiaire des acides organiques qu’ils sécrètent), et d’actions mécaniques et/ou chimiques diverses caractéristiques du milieu sédimentaire dans lequel ils évoluent. [”présence d’une pellicule de silice amorphe à la surface des cristaux de quartz de formations sableuses” C.R. de l’académie des sciences.]
• Travaux du Docteur CHARNOT : démonstrations que l’administration de silicium organique dans le cadre de problèmes osseux, ou des tendons, entraînait une nette amélioration générale, une meilleure mobilité et une diminution, voire une cessation des douleurs. Action anti-inflammatoire appuyée. [”influence du silicium et du potassium sur le métabolisme, maroc méd.]
• Travaux du Docteur RANDOIN : démonstrations d’une accélération du processus de recalcification dans le cas de fractures, avec une normalisation du rapport silicium/calcium.
• Travaux du Docteur JANET : démonstration d’une action positive du silicium organique dans le traitement de nombreux problèmes, de la sphère articulaire, de la tension artérielle, troubles nerveux, sphère gastrique, brûlures, sphère hépatique, ... [”le silicium et la vie”, Ed. Bionat]
• Travaux de CARLISLE et SCHWARTZ : démonstrations dans les affections ostéo-articulaires de la présence de silicium dans les macromolécules de type acide hyaluronique et glycosaminoglycanes (cartilages); [”silicon, a possible factor in bone calcification”, Science.]
•Travaux de MILNE : démonstration d’une croissance anormale du cartilage des articulations et du squelette chez l’animal, provoquée par des carences en silicium organique.
• Travaux de LOEPER et GOLAN : démonstration du rapport “déficit en silicium organique/recrudescence des dépôts lipidiques”, avec infiltrations des parois artérielles, contribuant à sa fragilisation. Amélioration du confort de la sphère de la vascularisation par traitements au silicium organique.
• Travaux de MARS-NEBIA-NEBULONI et coll. : mesures dans les artères en mauvais état : taux 14 fois supérieur à la normale du déficit en silicium organique. Travaux de BIRCHALL et EXLEY : démonstration du rôle joué par le silicium organique comme antidote naturel de l’aluminium, dans des affections neurologiques. Une carence marquée en silicium organique au niveau du système nerveux pourrait expliquer la diminution de synthèse de la dopamine dans les états dépressifs.
• Travaux de ZELLER et ODIER : démonstration que l’administration de silicium organique tant par voie générale que locale restitue la souplesse et la tonicité des tissus d’enveloppe, et le fait que sa carence entraîne la formation de rides et de vergetures.

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